L'amour, la mort

 


L'amour, la mort de Dan Simmons

Résumé : 

Entre vieilles légendes sioux, bas-fonds de Bangkok, futur dystopique et passé recomposé, Éros et Thanatos dansent ensemble pour mieux révéler les fêlures humaines. 

Quand l'horreur se pare de douceur, que le fantasme se fait fantastique et cruel, que la drogue du passé tue pour oublier le présent... 

Cinq nouvelles qui montrent toute la palette d'écriture de l'auteur d'Hyperion, de Terreur et de L'Échiquier du mal.

Mon avis : 


Ces cinq nouvelles d’un auteur que j’adore sont toutes basées sur le thème de l’amour et de la mort qui s’entremêlent, dans des histoires radicalement différentes.

Autant j’ai apprécié certaines nouvelles, autant d’autres m’ont laissée de marbre.

La première « Le lit de l’entropie à minuit » m’a beaucoup touchée. L’histoire de ce père prenant soin de sa fille en pensant à tous des cas d’accident est très belle et douce. C'est la nouvelle que j'ai préférée.

J’ai également beaucoup apprécié « Coucher avec des femmes dentues » qui permet d’en apprendre plus sur la culture des sioux et qui a une belle morale.

« Flash-back » était intéressante car c’est la nouvelle qui a donné naissance au roman complet que l’auteur a écrit plus tard. Ce n'était pas une surprise pour moi car j'avais lu ce dernier, mais j'ai beaucoup aimé découvrir les bases de l'histoire et comment celle-ci a évolué. (voir ici)

Je n’ai pas beaucoup aimé le contexte de la nouvelle « Le grand Amant » mais l’histoire en elle-même était plutôt prenante et bien écrite. Je ne suis pas très fan des récits de guerre pour le moment mais celui-ci était bien tourné.

« Mourir à Bangkok » ne m’a vraiment pas plu. J’ai trouvé ce passage très vulgaire et vraiment trash, surtout sachant que cette nouvelle arrive juste après la première qui est plutôt douce !

Je ne lis pas souvent de nouvelles et je trouve que c’est plutôt compliqué de donner son avis, mais en conclusion, je peux dire que c’était plutôt une bonne expérience de voir différentes facettes de l’auteur.

Merci beaucoup Laure Peduzzi et les éditions Pocket Imaginaire pour cette bonne lecture !

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